Lorsque vous participez à une activité de réseautage, le small talk permet d’entrer en relation avec les autres. Toutefois, les conversations anodines ou bavardages en intimident plus d’un… surtout quand la discussion se déroule en anglais.

« Je ne sais pas quoi dire. »

« On va s’apercevoir tout de suite que je cherche mes mots et que je cafouille. »

« Et si les autres ne me trouvent pas intéressant ? »

Ces pensées négatives vous freinent et vous empêchent de développer pleinement votre entreprise.

Heureusement, le small talk, ça s’apprend et se perfectionne avec la pratique.

Prendre des risques

Qu’est-ce qui pourrait bien arriver de si grave dans une conversation anodine ? Rien du tout. Dans son livre The Fine art of small talk (Le Grand art de la petite conversation, en français), Debra Fine, célèbre formatrice et conférencière américaine, propose de se fixer deux objectifs.

Le premier consiste à prendre le risque d’entamer une discussion avec un étranger. Ainsi, au lieu de passer près du buffet en espérant que quelqu’un vous aborde, prenez un risque et amorcez la discussion avec quelqu’un.

Vous êtes plutôt timide ? Repérez la personne la plus accessible dans la pièce, c’est-à-dire qui est seule et pas encore engagée dans une conversation. Établissez un contact visuel avec elle, puis approchez-vous. Il ne vous reste plus qu’à vous présenter brièvement et à poser une simple question : que faites-vous ?

Prendre en charge la conversation

Le deuxième objectif proposé par Debra Fine vise à vous assurer, chaque fois que vous bavardez avec quelqu’un, que votre conversation soit mémorable. Comment agir pour que votre interlocuteur se sente à l’aise et valorisé ?

  • Intéressez-vous à lui de façon sincère ;
  • Écoutez-le avec attention ;
  • Posez-lui des questions.

Les questions ouvertes sont les plus efficaces. Vous serez surpris de la direction que pourrait prendre votre discussion.

Si vous demandez : « Où êtes-vous allé pendant vos dernières vacances ? », vous pourriez quitter le 5 à 7 avec la recette d’un délicieux plat malaisien ou découvrir que vous étiez à Paris en même temps.

En posant la question : « Que préférez-vous dans votre travail ? », vous pourriez apprendre que votre cousin travaille avec votre interlocuteur.

Ces informations peuvent sembler anodines en apparence, mais elles ouvrent souvent la porte à des conversations plus profondes et à la création de liens.

Bien sûr, le small talk n’est pas inné. C’est une compétence qui se développe petit à petit, au gré des expériences. Si vous débutez dans le merveilleux monde du réseautage, vous pouvez vous fixer un objectif avant de partir de chez vous ou du bureau : parler à au moins 5 personnes, fixer un rendez-vous avec un client potentiel, remettre trois cartes d’affaires, etc. L’important, c’est de sortir de votre zone de confort et de passer à l’action.

Lorsque vous atteignez votre objectif, vous pouvez décider de partir ou de rester afin de vous challenger encore plus.

Vous avez besoin de pratiquer votre small talk en anglais ? Le coaching privé de Verbatum est la solution qu’il vous faut. Communiquez dès maintenant avec Sarah qui vous expliquera comment elle peut vous aider à atteindre votre objectif.

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