« Ouvrez votre manuel à la page 52 et pratiquez les verbes irréguliers en équipe de deux. » Cette phrase, vous l’avez probablement entendue maintes et maintes fois. Si autant d’adultes sont réticents à suivre des cours d’anglais à l’âge adulte, c’est bien souvent parce qu’ils craignent de devoir encore apprendre en écoutant un prof donner un exposé théorique et lire un manuel d’un couvert à l’autre. Chez Verbatum, on fait un gros X sur l’enseignement traditionnel et on privilégie un parcours qui respecte le rythme naturel de chaque coaché.

Mais qu’est-ce qu’un parcours qui respecte le rythme naturel? C’est ce que vous allez découvrir grâce à l’exemple fictif de Josée, créatrice de jouets écoresponsables pour les 0-5 ans. Depuis les dernières années, les jouets de Josée ont su gagner le cœur des Québécois. Elle aimerait percer dans le reste du Canada et aux États-Unis, mais ses compétences en anglais la freinent grandement. Vocabulaire limité, temps de verbe très loin dans sa mémoire, manque de confiance quand elle s’exprime. Pour aller passer une semaine à Old Orchard, ça va, mais pour négocier des partenariats, ça ne va pas du tout.

C’est donc dans cet état d’esprit que Josée nous a contactés l’an dernier et que nous avons créé un parcours d’enseignement sur mesure pour elle afin qu’elle atteigne son objectif : maîtriser l’anglais afin de développer un marché anglophone.

 

Étape 1 : On pose la fondation en automne

Une maison sans une fondation solide va s’écrouler à coup sûr. Le même principe s’applique à l’apprentissage de l’anglais. Et cette fondation, ce sont les notions de base : les temps de verbe, les verbes irréguliers (désolé, on n’y échappe pas!), les modaux comme can, should, would, could, must

 

Étape 2 : On enrichit le vocabulaire à l’hiver et au printemps

Film et série, vidéo sur YouTube, podcast, article de blogue, magazine, livre en tous genres… voilà autant de moyens de communication au service de l’apprentissage de l’anglais.

Ainsi, Josée a commencé à écouter un podcast sur le développement des affaires et à suivre une entrepreneure australienne qui a une entreprise semblable à la sienne. Elle a aussi lu un livre sur l’entrepreneuriat responsable et éthique.

Bien sûr, elle aurait pu consommer du contenu plus récréatif, mais elle a choisi de se lancer à fond pour atteindre son objectif qui, rappelons-le, est de conquérir un marché anglophone.

On consacrait donc notre rencontre à discuter de ses découvertes et des nouveaux mots et expressions qu’elle avait appris. Elle avait bloqué sur certains passages? On les regardait ensemble. Pas mal plus plaisant qu’apprendre des listes de mots de vocabulaire, n’est-ce pas?

 

Étape 3 : On jase, on jase et on jase encore en été

L’été, on aime ralentir le rythme, s’amuser, relaxer, alors on adapte nos coachings, car avoir du plaisir en apprenant, c’est primordial. Si « Fun » fait partie de l’une de nos quatre valeurs, c’est pour une excellente raison.

Avec Josée, nous avons donc misé sur la discussion afin d’améliorer sa prononciation, sa fluidité et, surtout, sa confiance en soi. On a discuté d’écoresponsabilité, d’entrepreneuriat, de développement des affaires… ainsi que de voyage, de cuisine et de plein air. De plus, nous avons réalisé plusieurs mises en situation, des discussions fictives avec le responsable de l’approvisionnement d’une grande chaîne de l’Ouest canadien, la propriétaire d’une boutique du Vermont, un transporteur, etc.

Un an plus tard, Josée est maintenant prête à développer le marché nord-américain. Go, go, go! Elle parle maintenant avec assurance et elle a toutes les cartes en main pour atteindre son objectif. Petit bonus : quand tu as une coach d’origine américaine, elle peut te parler des différences culturelles entre le Québec et les États-Unis. Un très bel atout dans sa manche!

 

Et voilà, le parcours Verbatum, c’est simple :

  • Une fondation robuste
  • Un vocabulaire béton
  • Une discussion solide

Prêt à entamer le parcours Verbatum? Des questions? Communiquez avec nous dès maintenant.

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